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Mercredi 22 août 3 22 /08 /Août 02:03
Envie mutuelle
 
 
 
 
 
 
 



Je flashais sur ce garçon depuis plusieurs mois déjà et je n’en pouvais plus d’attendre qu’il se décide enfin à m’aborder. Le «big» flash, j’en avais mal au bas-ventre tellement j’avais envie de lui. Je ne suis pourtant pas une salope mais quand j’ai une idée derrière la tête, il faut que j’aille jusqu’au bout… Et cette fois encore il avait fallu que je tombe sur un empoté. Un empoté, mais tellement joli, tellement mignon, qu’il aurait pu faire craquer la terre entière. J’étais certaine que mes copines allaient en crever de jalousie !
  
 
Mais le pire, c’est que l’empoté en question flashait lui aussi sur moi. Il n’arrêtait pas de me mater à chaque fois que nous nous croisions quelque part. Alors je ne savais vraiment pas ce qui le retenait. Zut alors ! Et moi qui commençais à avoir bougrement envie, plus d’un mois depuis mes dernières galipettes. Tant pis pour lui après tout. Puisque Monsieur se décidait pas, j’allais encore être obligée de lui trouver un remplaçant.
  
 
 Allons une dernière chance ! Je savais où il devait aller à une boum ce soir là. Je me suis arrangée pour m’y faire inviter moi aussi. Ambiance franchement ringarde et mecs bien gras. Dès mon entrée je me suis faite accoster par des lourdingues qui en avaient visiblement après mon cul. J’en ai baffé un et ai presque eu envie de faire demi-tour. Je me demandais vraiment comment Olivier pouvait côtoyer de tels olibrius, lui qui avait pourtant l’air si fin et délicat. Justement il était là-bas avec son frère et comme c’était une des rares personne que je connaissais à cette fête, je me suis naturellement approchée de lui. «Bonjour, bonne soirée, bonne ambiance…» Banalités, balivernes… Ses yeux me croquaient des yeux mais lui n’était pas capable d’aligner trois mots. Et lorsque je m’approchais pour le frôler, systématiquement il s’écartait. Décevant. Je regrettai bientôt d’être venue ici, visiblement ça n’allait mener à rien.
 
 
Mais mon petit manège n’avait semble t’il pas échappé à son frère qui m’invita bientôt à danser. Dans la moiteur d’un slow, couvert par une demie-obscurité, il ne tarda pas à me faire bientôt des avances. Sans être aussi mignon que son frangin, il y avait tout de même un air de famille et Didier était visiblement plus décidé et un plus viril. Oubliant tout d’un coup mon amour transi pour son frère, je lui roulai une pelle sur la piste de danse. J’avais envie, terriblement envie, j’avais la chatte en feu et j’avais envie de me satisfaire au plus vite. Didier paraissait pour le moins étonné que je me jette ainsi à sa bouche mais, sans trop hésiter, il me laissa l’entraîner vers l’escalier. Il y avait des chambres à l’étage que j’avais repérées lorsque j’étais allée aux toilettes.
  
 
La porte à peine refermée, nous nous sommes embrassés à nouveau. J’étais folle de désir, je lui ai pris la main et l’ai posée sur mon sein gauche. La chambre était grande, plongée dans une demi-obscurité et il y avait une petite salle de bain tout au fond. Certainement la chambre des parents en temps ordinaire… J’ai commencé à me déshabiller devant lui en regardant gonfler la bosse devant son jean. Une fois en petite culotte, je me suis agenouillée devant lui, j’ai baissé son pantalon et son slip avant d’avaler son pénis. Il était bien gonflé, déjà bien dur. Ma langue aspirait fiévreusement son gland. Je me suis mise à le sucer et à le branler en même temps avec délectation avec déjà en tête des images de pénétrations frénétiques. Je le léchais, je le suçais, je l’aspirais, je pipais son gros dard en caressant ses fesses tant et si bien qu’il ne tarda pas à venir… Et lorsqu’il me dit qu’il allait juter, il était déjà trop tard pour retarder l’échéance. J’ai senti des spasmes puissants dans son manche d’acier. Puis il a crié en m’aspergeant abondamment le visage. J’étais si excitée (Une vraie chienne !) que je lapais son foutre à pleine bouche en cherchant à tout avaler. De voir cette bite cracher tout ce sperme, hummm, j’en frémis encore !
 
    
J'avais le visage tout englué de foutre alors je suis allé à la salle de bain pour me nettoyer et lui laisser le temps de reprendre ses forces… La soirée ne faisait que commencer. En revenant, j’ai ôté ma culotte et mes collants avant de m’étendre entièrement nue sur le lit après avoir éjecté le dessus de lit et les couvertures. Cuisses écartées, ma chatte était grande ouverte devant lui. Je n’avais qu’une envie, c’est qu’il me la bouffe. C’est ce que je lui dis crûment pour l’exciter encore plus. La tête entre mes jambes, il se mit en peine de me la dévorer. D’abord lentement, en enroulant lentement sa langue tout autour de mon clito, puis de plus en plus vite, faisant gonfler et durcir mon bouton avec sa bouche. J’avais tellement envie que je ne tardai pas à jouir une première fois par le clito. Mais il continuait. Ecartant mes chairs, désormais il pénétrait franchement en moi avec sa langue fiévreuse. Je mouillais déjà comme une folle.  

 
Ensuite, il m’a prise, il a enfoncé son pieu dans ma fente et a commencé à me pistonner en profondeur. Il me pliait en deux, mes jambes ramenées vers la tête et dans cette position il me pilonnait avec force. Ses allers et retours se faisaient de plus en plus rapide. J’avais joui déjà une fois puis une autre, je n’arrêtais plus de jouir, je ne savais plus trop où j’en étais tellement c’était bon et divin. Au dernier moment, alors qu’il allait décharger enfin, il a sorti son dard de ma fente et ses saccades de sperme chaud m’ont aspergé le corps, le ventre et les seins. Ensuite, il s’est écroulé sur moi et nous sommes restés ainsi un long moment avant de reprendre nos esprits.
 
  
Un peu plus tard, il s’est relevé et rhabillé aussitôt sans prendre la peine de même essuyer son ventre ou sa queue. Et dans la foulée il est ressorti de la chambre en me laissant seule sans un au revoir. Quel goujat ! Quel rustre ! Je le maudissais, juste le genre à tirer sa crampe vite fait avant de retrouver ses potes. En ce qui me concerne, j’ai investi la salle de bain pour prendre une douche et me refaire une beauté. Il était hors de question que je redescende ainsi toute collante de foutre.
 
 
Mais lorsque je suis revenue dans la chambre, SURPRISE ! Didier était revenu et pas seul ! Olivier était là aussi, tous les deux debout et habillés alors que moi je ne portais qu’une serviette. «Mon frangin Olivier n’arrête pas de me parler de toi. Il se branle tous les jours en pensant à toi… Son seul problème, c’est qu’il est puceau ! Alors je compte sur toi Bénédicte, pour t’occuper gentiment de lui» Et sur ce, il nous laissa seul tous les deux.
  
 
A moitié nue, j’avais soudain un peu honte et je n’avais d’yeux que pour les draps maculés du sperme du frangin. Pour camoufler mon forfait et ne pas lui faire de peine, j’ai ôté d’un coup la serviette et l’ai étendue sur le lit, me dévoilant en même temps dans la nudité la plus complète. Ensuite, je me suis approché de lui et l’ai lentement embrassé sur la bouche en blottissant mon corps nu contre le sien. Il n’osait pas encore me toucher. Je me suis ensuite agenouillée devant lui et avec des gestes très tendres, je l’ai déshabillé lentement avant de prendre son sexe dans mes mains. Il ne bandait pas encore, sans doute trop stressé par la nouveauté de cette situation. Alors j’ai mis tout mon amour et toute ma douceur pour le caresser et l’embrasser. Et, à force de caresses, et d’attouchements, j’ai fini par faire gonfler et durcir cet engin tant désiré, une réplique exacte du modèle de son frère. Je l’avais fait s’allonger sur le lit pour mieux le sucer et, visiblement, il y prenait un plaisir évident. Parfois aussi un peu d’incertitude sans doute le faisait débander légèrement, alors je me faisais plus tendre et plus câline et il reprenait immédiatement du poil de la bête. Finalement, il s’est pris au jeu de l’excitation, devenant alors particulièrement excité et osant même me traiter de salope tandis que je redoublais d’énergie pour le piper… Il venait, je sentais son sperme venir dans sa bite. Hummm ouiiii, jusqu’à ce qu’il vienne au fond de ma gorge avec force en manquant de m’étrangler. Mais ce sperme là, je voulais tout l’avaler…
 
  
Un peu plus tard, après un long et voluptueux câlin dans les bras l’un de l’autre, il eu la bonne idée d’enfoncer ses doigts en moi tandis que je branlais son pénis. A ce rythme là nous étions de nouveau fin prêt pour refaire l’amour. Le sentant encore un peu fébrile, je pris la direction des opérations, le fis allonger sur le lit et vint m’embrocher debout sur un dard bien ferme. Je glissais de haut en bas avec délectation, tous mes sens en éveil, tellement c’était bon de s’emmancher à son vit. Ma motte gonflée d’envie, mon vagin dégoulinant de jus d’amour, j’avais enfin ce dont j’avais rêvé pendant des mois et, malgré l’inexpérience de mon partenaire, ce n’était somme toute pas si mal. Tellement excitant que je ne tardai pas à jouir. Mais j’en voulais encore tellement c’était bon, j’en voulais encore plus jusqu’à ce qu’il crache en moi avec toute la puissance de son jet. Et lorsque enfin je le sentis venir pour la seconde fois de la soirée, je fis moi-même secouée de spasmes de toutes parts tant mon bonheur était intense, tandis qu’un torrent de mouille dévalait entre mes cuisses…
  

 La vie est ainsi faite que, malgré cette soirée et les suivantes que nous avons passées ensemble, je ne suis pas restée très longtemps avec mon bellâtre. Car on peut être très beau et plutôt doué en amour mais terriblement chiant dans la vie courante… Alors, après m’être faite mousser par toutes mes copines pour ma nouvelle conquête, j’ai tout simplement laissé tomber… Etre beau ça ne suffit pas !
Par Anaïs - Publié dans : Avaler ou pas ?
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