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Avaler ou pas ?

Mercredi 22 août 3 22 /08 /Août 01:47
Une charmante impudique
 

 





Comme chaque semaine, je devais faire des cours de perfectionnement avec Mr Smith mon professeur de Français. J’enrageais, préférant retrouver mes amis qui se retrouvaient au café habituel pour rigoler ensemble.


Mr Smith était inflexible avec moi ; il m’était interdit de manquer un seul cours sous peine d’avoir des leçons supplémentaires à faire. A l’approche du mercredi après midi qui approchait, mon cerveau tournait à plein régime, cherchant une nouvelle excuse pour me défiler. Ce type devait détester les filles pour être aussi sévère !


A 13 heures, je lui téléphonais, modifiant exprès ma voix :


- Allo Mr Smith ?
 
- Oui, Nadia, qu’y a-t-il ? Tu as l’air d’avoir une drôle de voix aujourd’hui. Serais-tu souffrante ?

- Ohhh ouiiii ! Je peux à peine articuler tant j’ai mal à la gorge ! Et j’ai plein de fièvre depuis hier soir …

- Diable ! Voilà qui est bien gênant pour nos cours ! Tu ne peux vraiment pas faire ton cours aujourd’hui ?
 
- Oh non ; vous verriez dans quel état je suis ! Je ne tiens même plus debout !

- Bon, reste couchée et soigne toi ! Je te rappellerai tout à l’heure…

- Merci. C’est gentil de votre part de vous en préoccuper. Une fausse quinte de toux féroce se fit entendre au bout du téléphone. Je riais sous cape, certaine de l’avoir embobinée ! Je raccrochais.


Assise dans mon lit, je me passais un film quand la sonnette d’entrée se fit entendre. Quel était le casse pied qui se permettait de venir me déranger sans prévenir de son arrivée ? Je fonçais nue pieds sur le carrelage quand soudain, je m’arrêtais. Une idée me vient : et si c’était Mr Smith venu vérifier mon état de santé ? Je criais :


- Une seconde, j’arrive !


Puis rentrais dans ma chambre, me déshabillant, ne gardant qu’une petite nuisette et un peignoir que je passais par-dessus. Nous allions voir qui des deux serait le plus intelligent !


Bien entendu, c’était Lui ! Et en plus, avec son maudit cartable de cuir et mes leçons ! Grrr Je le fis entrer à contre cœur, lui préparant un café corsé à réveiller un mort pour me venger puis emmenais le plateau dans ma chambre, le posant sur le bureau.


- Et bien, Nadia, on dirait que tu vas déjà mieux !

- Oh non, c’est parce que j’ai pris un cachet il y a un quart d’heure que la fièvre est descendue, vous savez ! J’étais déterminée à aller retrouver mes amis !!

- Bon, recouche toi vite dans ton lit ! Nous allons essayer de travailler un peu quand même car l’examen blanc est pour la semaine prochaine, tu sais et tu dois absolument remonter ta moyenne !

- Pffff ! Vous êtes vraiment dur avec moi ! Je vous dis que je suis malade comme une bête !


Et de colère, je retirais mon peignoir, sautais à pieds joints sur mon lit, me penchais volontairement en avant lui dévoilant mes fesses nues et me glissais sous les couvertures, d’un air pudique ! Il allait attraper une de ces triques !!!


- Puis-je vérifier si tu as beaucoup de fièvre ? dit celui-ci prenant un ton paternaliste, en posant sa main fraîche sur mon front.


Tu parles que j’étais malade ! Oui, de rouerie féminine ! Il allait s’en rappeler de son après midi ce crétin ! Bien entendu, il poussa un soupir en retenant son sourire
 :

- Mon petit doigt me dit que tu es déjà presque guérie !!!

- Vous n’êtes pas docteur ! Quand je tousse, ça me brûle à l’intérieur ! Tenez, touchez ma poitrine. Vous allez voir comme ça résonne fort. Je me remis à racler bruyamment la gorge puis toussais à fendre l’âme !

- Ohhhh que voilà une méchante toux. Qu’as-tu pris pour te soigner ?

- Heuu juste de l’aspirine.

- Attend, je vais te préparer une bonne tisane que me faisait avaler ma grand-mère. Tu m’en diras des nouvelles. Si dans une heure, tu n’es pas en forme, je change de métier !


Je retins un sourire ; si c’était vrai qu’il change de boulot…Bon débarras ce serait. Bien entendu, je ne lui dis rien de ce qui me passait dans la tête. Il fila à la cuisine et pendant ce temps j’échaudais un nouveau plan pour le court-circuiter. Quand il arriva, il tenait un grand bol fumant odorant. Savait-il vraiment cuisiner ? Il me prit mon pouls avant puis approcha le bol de mes lèvres délicatement.


C’est à ce moment que l’une de mes bretelles glissa sur mon épaule, dévoilant le début d’un sein provocant. Je lorgnais sur Mr Smith qui bien que rougissant comme une jolie pivoine, n’avait pu s’empêcher de lorgner ma poitrine. Je repoussais vaillamment une bonne toux en l’agitant gaillardement.


Troublé, Mr Smith chercha la fuite en me demandant la permission d’aller aux toilettes. Une envie pressante dit-il en s’excusant. Tu parles ! J’étais sure qu’il bandait comme un âne dans son pantalon ! Et ce n’était que le début de cette maudite leçon qu’il avait voulu me donner…


Il revient, l’air un peu moins tendu, comme s’il s’était soulagé. C’est qu’il en avait mis du temps. J’aurai bien aimé être une petite souris pour voir si celui-ci s’était branlé. Dans mes toilettes, en plus ! Je levais vers lui un regard candide, lui pris la main et la posais doucement sur mon ventre. On devinait au travers ma jeune toison comme un appel à la tentation. Je crus qu’il allait me faire une attaque d’apoplexie, cette fois–ci. Bien sur, j’avais volontairement croisé mes jambes en tailleur, lui donnant toute latitude pour admirer ma jolie minette.


Ce fut lui qui se mit à tousser pour de bon ! Il sortit de son maudit cartable la leçon qu’il avait préparée, essayant de cher son trouble, une fois encore. Mais j’étais d’une humeur démoniaque et bien déterminée à abréger ce maudit cours dont je me moquais comme de l’an quarante. Je m’allongeais en baillant, m’étirant comme une jeune chatte innocente, m’arrangeant pour que ma nuisette remonte un peu plus qu’il ne le fallait pour être décente, dardant mes seins belliqueux en avant. S’il continuait à rougir ainsi, j’allais lui conseiller de passer au vert ! Il me tendit son breuvage infâme :


- Avale doucement, petite !


Dès la première gorgée, je crus que j’allais vomir ! Qu’avait-il donc mis dedans pour que ce soit si dégueu ? Ca sentait le foin humide son truc !


- C’est bon ? Me demanda-t-il d’un grand sourire

- Non, c’est infect ! Je suis certaine que vous l’avez fait exprès ! Lui ai-je rétorqué l’air furibonde

- J’ai l’impression que tu n’es pas si malade que tu en as l’air. Reprenons la leçon, veux-tu.

- Harffff ça me gratte ! Houillle aie aie aidez moi au lieu de rire stupidement
- Ou dois-je te gratter ?

- Heuu la ! Et joignant le geste à la parole, j’attrapais effrontément sa main, glissant ses doigts crispés entre mes cuisses.

- Mais, mais ! Voyons, je sais bien que tu as 16 ans mais cela ne se fait pas !

- An non ? Ca vous gène de voir ma petite chatte ? Vous n’en avez jamais vue comme la mienne ?

- Veux-tu t’arrêter ! Tu deviens franchement ….

- Cochonne ? Demandais-je toujours aussi innocente

- Le mot n’est pas assez suffisant ! Tu te conduis comme une petite garce ! J’ai bien envie d’en dire deux mots à tes parents ! Recouvre toi veux –tu ! Tu es vraiment indécente !

- Mais j’ai la fièvre et quand on a de la fièvre, il parait que l’on fait parfois des choses qu’on oublie…


Une lueur soudaine s’alluma dans son regard. Effrontée, pendant que j’ânonnais sa leçon, mes yeux fixaient effrontément son entrejambe. Il finit par croiser et décroiser ses jambes nerveusement. Excédé, il me reprit vertement :


- avec le verbe avoir, jamais d’accord ! Où as-tu la tête aujourd’hui ?

- Hummm si je vous le dis, vous m’augmenterez mes notes ?
 
- Là, tu vas trop loin !

- Bon, dommage pour vous. Mais sans vous gênez, il y a une bosse bizarre dans votre pantalon ! Déclarai-je en éclatant de rire. Je peux toucher ?
 
- Bas les pattes ou je te mets une gifle ! Fulmina-t-il d’une voix sourde

- Dans ce cas, puisque je ne peux vous toucher, je vais me caresser. Je ne sais pas si c’est le printemps mais je me sens drôlement excitée…et comme vous êtes assez joli garçon, autant en profiter…


Joignant aussitôt le geste à la parole, je plongeais ma main entre mes cuisses, les rouvris, mouillais le bout de mes doigts d’un air appliqué puis les fis glisser sur mon sexe déjà mouillé abondamment. Stupéfait, Mr Smith me regardait d’un air stupide, perdant enfin son air satisfait pour une fois. Il est vrai que la situation était des plus excitantes pour moi. Derrière son air de prof guindé, j’étais sure qu’il mourrait d’envie de me tripoter. Je poussais un peu plus le bouchon le regardant l’air lubrique :


- Je vais vous faire partager mon secret. Regardez ce que mon petit ami m’a offert récemment : un gode super fantastique ! Il vibre, caresse le clitoris en même temps et vous fait décoller à une vitesse fantastique. Vous avez déjà essayé ? Demandais-je le sentant soudain plus qu’intéressé.
- Heuu J’avoue que mon éducation à l’époque me l’a interdit mais pour conserver les convenances, disons que je me contenterai juste de regarder l’effet que cela fait.

- Ahhh J’étais sure que nous arriverions à nous entendre ! Bon, installez vous en face du lit sur le fauteuil et allumez la lumière juste à coté. Moi, je me calle avec mes gros oreillers. Bzzzzzz bzzzzzzz bzzzzzz !


La tête du fameux gode se mit doucement à tourner tout en vibrant sous ma main. Perverse, je lâchais :


- Vous voulez bien me le tenir ; ça me permettra de mieux me concentrer…

- Qu’est-ce que tu ne me fais pas faire ! Bon, donne moi cet engin et allonge toi. Je ne voudrais pas te blesser avec ça. C’est pas un peu gros pour toi ?

- Oh non, je préfère les grosses bites ! Hoo pardon, je ne voulais pas vous choquer…

- Je, je …crois que je préfère juste regarder, balbutia-t-il l’air décomposé

- Très bien, tant pis pour vous…Vous êtes prêt ? Dis-je l’air coquine

- Vas-y ! Ne t’occupe pas de moi ; fais comme si tu étais seule dans ta chambre et oublie moi…


La petite garce ne m’avait pas attendue, glissant l’engin infernal entre sa fente déjà toute humide. Je voyais ses petits poils frisés luire dans la lumière pendant que les lèvres de son sexe se gorgeaient. Elle posa un oreiller sous ses fesses, s’arrangeant pour que son sexe soit bien face à la lumière, pour mieux m’exciter.


Elle avait réussi à me faire bander comme ce n’est pas permis ! Grâce au ciel, j’avais un bon jean et mes boutons étaient solides ! Heureusement que mes élèves n’étaient pas toutes comme elle. Un léger renflement sur le coté du gode caressait son bouton pendant qu’elle se l’enfilait sans difficulté. Quelle bonne baiseuse se serait dans quelques années !


Elle commença à le faire aller et venir, le faisant ressortir tout brillant de cyprine. Elle fermait maintenant à demi les yeux, conservant sa jolie moue boudeuse. J’imaginais quel effet j’éprouverai en faisant aller ma queue durcie au fond d’elle. Je n’arrivais plus à réfléchir, juste à ne plus penser qu’à deux mots qui me martelaient la tête : sexe, sexe, sexe, baise, baise ….


Je me relevais, subjuguée, la voyant de l’autre main se caresser le sein, pendant que l’autre s’activait. J’avais terriblement envie d’elle et elle le savait. Devina-t-elle mes pensées ? Elle me jeta du bout des lèvres :


- Si vous êtes trop excité, faites comme moi et mettez vous à l’aise ! La chambre est fermée à clé et mes parents ont une réunion de travail, ce soir…
- Nadia, vous êtes une véritable petite diablesse ! Vous êtes en train de me rendre fou.


Joignant le geste à la parole, je dégrafais mon pantalon, le glissais rapidement sur mes cuisses velues et sortis ma queue turgescente. Je la pris à pleine main, fermement, observant els mouvements intéressants du gode dans sa chatte toute gorgée de désir. Je viens m’asseoir au bord du lit, posant pour la première fois ma main sur ses cuisses à la peau si douce. Elle eut un soupir, m’invitant à continuer mes caresses qu’elle reluquait malgré tout.


Jamais je ne m’étais trouvé dans une situation pareille ! Cette fille était une véritable petite chienne en chaleur, prête à tout pour assouvir ses désirs, jusqu’à tenter de me mettre dans son lit. Il n’en était pas question. La contempler me suffisait amplement pour aujourd’hui. Je savais qu’elle ne s’arrêterait plus en si bon chemin, connaissant maintenant ma faiblesse pour le sexe. Bientôt nos mains fonctionnèrent en osmose, les yeux plongés dans chacun comme si nous faisions l’amour vraiment.


Je la vis se cambrer, bomber son pubis en avant, tout en se labourant le ventre avec le gode infernal de plus en plus vite…Mon bas ventre était devenu un véritable brasier ou mon plaisir ne demandait plus qu’à jaillir. Mais je voulais voir ma jolie coquine prendre son pied en premier. Son visage se mit à rosir, signe évident d’une violente excitation puis ses lèvres s’ouvrir, en lachant impudiquement :


- Tu me baises ! Tu me baises ! Tu me baises…ahhhhhhhhhh


C’en fut trop pour moi. Il m’était impossible de me retenir. J’activais ma paume, me branlant comme un fou :


- Ahhhhh Nadia, tiens c’est tour toi !


Une gerbe de gouttelettes translucides jaillit dans une belle explosion de mes sens me laissant vidé de toute énergie.


Il arrive que parfois le plaisir unisse deux êtres pour longtemps. Bien que huit ans nous séparent, j’ai épousé ma douce petite lubrique depuis et nos jeux sont loin d’être épuisés, le soir quand nous nous retrouvons ensemble. Seule son imagination torride m’arrache depuis des gémissements. Avouez que j’aurai été le pire des idiots de laisser partir une telle fille ou d’en faire laisser profiter un autre !
Par Anaïs - Publié dans : Avaler ou pas ?
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